Je n’ai entendu parler d’Heuliad que très récemment, sur ce site. Je suis donc allée voir (et rêver) sur le site de la marque avant de revenir chez Univeda, comme l’on revient à la maison.
La Crème d’amour m’a séduite d’emblée. Pour son nom, d’abord, comme une évidence : donner de l’amour à sa peau revient à s’en donner à soi-même et quand on ressent un manque de tendresse (pas le temps, climat hivernal, pas envie quand on préfère donner de l’amour à ses enfants qu’à soi par manque de … temps, toujours cette course au temps qui nous rend trop légères par rapport à notre beauté et notre santé).
J’ai décidé de faire simple mais exigeant : cette crème présentant toutes les qualités nécessaires à une prise en charge efficace et rapide de ma peau, sur le papier en tout cas, je m’y suis mise.
Pour le moment, je n’ai commencé qu’il y a 3 jours. Je vous raconterai donc la suite prochainement, à l’issue d’un mois d’utilisation.
Voici ce que je constate après 6 applications (matin & soir) :
– Une texture bien nourrissante et pourtant fluide, ne nécessitant pas d’être malaxée avant l’application
– Une petite quantité suffit à chaque utilisation
– Une odeur qui me rappelle un onguent que l’on m’appliquait, petite, lorsque j’étais malade (la présence d’extrait de feuille de romarin, sans doute …), cet effet régressif suffisant à réjouir mes sens au réveil
– Une certaine fraîcheur évoquant un matin d’été (cela n’engageant que moi …)
– Une absorption rapide du produit permettant de se poudrer le visage immédiatement sans traumatisme du genre « j’ai le visage qui peluche » ou « j’ai des plaques de colle sur les joues »
– Les yeux ne sont pas pochés au réveil.
J’ai aussi constaté que ma peau est plus rebondie le matin et qu’elle ne tiraille plus du tout après le démaquillage du soir.
Et, vue de l’esprit, hasard ou réalité, mon homme m’a lancé un « tu as bonne mine aujourd’hui » certes laconique mais gratifiant que je n’avais pas entendu depuis plus d’une longue année.
Je vous raconterai la suite mais le chemin a l’air radieux et l’issue semble déjà joyeuse … comme dans un roman !