femme

Sur ta peau = dans ton sang

Je reprends le clavier pour partager avec vous quelque chose qui m’a choqué et me trotte dans la tête depuis dimanche.

Je sais depuis mes études (un autre siècle) que la peau n’est pas une barrière imperméable mais bien au contraire : très perméable ! C’est super car grâce à cette propriété de la peau, on apprend en cours qu’il existe des médicaments sous forme de pommade, de crème ou de gel qui permettent une « action locale » du médicament en l’appliquant via son véhicule : la crème ou le gel etc…

Comment cela marche t’il?
C’est simple, une fois la crème bien tartinée sur la peau les molécules chimiques passent la barrière de la peau et vont dans le sang, elles restent très concentrées là ou a été appliqué le médicament mais une partie d’entre elles se baladent aussi dans le reste du corps en empruntant la grand autoroute des voies sanguines.
Ce qu’il adviendra ensuite de ses molécules est une longue histoire mais en résumé il y aura 2 issus possibles : l’élimination par la machine humaine ou l’accumulation dans la machine humaine/le corps. Heureusement on ne se badigeonne pas tous les jours de pommades et autres crèmes médicamenteuses. Enfin, pour le plus grand nombre d’entre nous …

Et les cosmétiques?
Et bien c’est exactement la même chose, on se débarbouille avec un gel nettoyant, on se décrasse avec un bon gel douche et on se tartine allégrement de crème pour le visage et même allons y gaiement de lait pour le corps, sans oublier notre crinière avec toutes les palettes de détergents qui leur sont dédiés. Tout y passe, pas un seul petit cm2 de peau qui ne soit épargné.

NOTRE PEAU EST CHAQUE JOUR EN CONTACT DIRECT AVEC TOUTES SORTES DE MOLÉCULES QUE SCIEMMENT NOUS NOUS ÉVERTUONS A LUI APPLIQUER : PUIS CES MOLÉCULES PASSENT DANS LE SANG.

Que s’est il passé pour je réalise à ce point à quel point cela est vrai et grave?
Et bien dimanche dernier, comme je le disais, j’ai fait un gommage du corps avec un produit que je chéri pas mal et qui a une composition plus qu’irréprochable : un gommage au sucre et huiles essentielles, dont de l’huile essentielle d’Amande Amère.
Le gommage terminé et fait très rapidement, je me rince et.. choc : je n’ai même pas fini de m’essuyer que j’ai le gout de l’amande amère dans la bouche!
Mais vraiment ! Ce n’est pas un effet psychologique, c’est bien réel et ça m’a fait peur. Ça m’a fait peur parce que pour la première fois de ma vie, j’ai eu en direct et en moins d’une minute la preuve par A+B que ce qui est appliqué sur la peau passe dans le sang et à une vitesse que je n’aurais même pas imaginée. Je le savais pourtant mais là c’est devenu si réel que c’en était troublant. Et là je me suis dit bon sang mais l’amande amère a passé la barrière cutanée et est rentrée dans les minuscules vascularisations de ma peau, a fait tout le tour de mon système sanguin pour ensuite remonter dans les vaisseaux capillaires de ma langue et apparaitre physiquement dans ma bouche. C’est dingue, c’est normal, c’est naturel, mais c’est dingue!

Que faut-il en déduire et que faut-il faire?
Il faut en déduire que je n’ai senti le goût de l’amande amère que parce que c’est un ingrédient qui a un goût puissant mais que tous les autres ingrédients, sans goût ou à faible gout passent eux aussi dans le sang mais ne sont pas perceptibles au goût et du coup passent inaperçus. Il faut aussi en déduire que l’on a le choix de ce que l’on laisse passer ou pas dans son organisme en faisant attention à ce que l’on choisi d’appliquer sur sa peau.
Si cette expérience vous parle, je vous laisse penser à toutes les crèmes, maquillages, soins corps etc que vous utilisez chaque jour : regardez bien les étiquettes, décryptez les listes d’ingrédients/INCI… ça vaut vraiment la peine. C’est un autre sujet mais je ferai bientôt un article sur tout ce qu’il faut éviter dans les listes d’ingrédients, en attendant je suis sûre que vous trouverez toutes ces infos sur de nombreux blogs ou sites.

Plus que jamais je garde en tête cette phrase « Ne mets sur ta peau que ce qui se mange », c’est le slogan que nous avions trouvé pour Jovees à une époque. Plus que jamais il a pour moi un sens profond. C’est un des principes de l’Ayurvéda qui considère à raison que la peau est un organe sur lequel on ne devrait jamais appliquer autre chose que quelque chose que l’on serrait capable de manger.

Sinon je vous rassure, je vais très bien et j’adore le goût de l’Amande Amère qui est absolument sans danger et parfume de nombreux gâteaux dans le commerce !!


Mélanie

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Cet article a 19 commentaires

  1. Milonga

    Mais que je suis ravie ! Je devrais être en train de travailler mais j’ai des choses à dire en écho à ce post. Outre la voie digestive haute, la peau et la respiration sont 2 moyens d’absorber des milliers de molécules, éléments … le pire et le meilleur.
    La peau me fascine car elle est immense, à la fois émonctoire (permet l’élimination des toxines au même titre que les organes foie, reins, intestins, poumons …), en dit beaucoup sur notre état psychologique et notre manière de nous positionner dans la vie ET elle est un organe nourricier et soignant !
    Un exemple : J’utilise les huiles essentielles pour les soins courants. Mon fils est petit, parfois enrhumé et souvent un peu « pris » en hiver. Je lui mets alors une goutte d’HE d’eucalyptus sous les pieds afin de ne pas agresser sa peau. En 2 minutes, son haleine sent l’eucalyptus : pénétration immédiate via la peau, transport ultra-rapide par le sang, émanation par les muqueuses, système respiratoire libéré. J’ai fait le test sur moi : ciste sous les pieds = haleine fraîche du maquis corse ! Alors, la peau est un excellent transmetteur, une enveloppe permettant les « entrées-sorties », on la montre ou la cache comme on le souhaite, elle parle de nous, de nous états d’âme, de nos oragnes (foie fatigué = teint brouillé, apr exemple) … Bref : elle mérite tous nos égards. Donnons-lui des produits naturels et elle protègera notre organisme avec soin ! Vive le naturel, vive Univeda !
    (Pour ceux qui s’intéressent à la dimension psy de ce bel organe, je conseille un bon vieux bouquin jamais égalé : Le moi-peau, de Didier Anzieu. Une merveille, cet homme ;))

  2. Gaëlle

    Intéressant en effet, mais n’y a-t-il pas aussi une réaction du cerveau du type, vous avez senti l’odeur de votre gommage donc il l’a retranscrite en goût dans votre bouche ? Comme quand une bonne odeur ou même l’idée de cette odeur nous fait saliver ? Ou comme quand on croise les effluves nauséabondes d’un clochard le matin, et que ce parfum réapparait inopinément l’après-midi dans notre nez alors que notre environnement est propre et sans parfum ?

  3. melanie

    Bonjour Gaëlle ! Merci pour votre commentaire. En effet la mémoire olfactive, ça existe et ça se manifeste de la manière dont vous le décrivez, mais dans ce cas précis il s’agissait de quelque chose de bien plus fort, le goût était là physiquement, j’ai mangé de l’HE d’amande amere en la faisant passer par la peau de mon corps. Cela peut paraitre troublant mais en fait c’est très logique, et je vous renvoi vers ce très beau témoignage de Milonga ci dessus ! Il est très explicite et parle exactement du même phénomène mais avec des termes bien plus précis !! Merci Milonga !!!

  4. Helene

    Merci pour cet article Mélanie.
    Désolée mon commentaire risque d’être un peu long ^^

    Combien de fois j’ai répété à des femmes de ne pas utiliser de cosmétiques « low cost », des fonds de teint à 4€ bourrés de composants chimiques, voir TOXIQUES pour l’organisme.
    C’est sur, les adolescentes n’ont pas un budget énorme pour leurs maquillage et crèmes, et se dirigent plutôt vers des produits pas chers, mais si elles pouvaient déjà simplement PRENDRE CONSCIENCE de la gravité du problème, ça leur permettrait peut être plus tard de réfléchir à deux fois à ce qu’elles mettront dans leur panier.

    Mais il n’est jamais trop tard pour changer.
    Cela fait seulement une petite année que je me suis penchée sur la question du maquillage minéral et des soins pour la peau exempt de parabens, SLS et j’en passe.
    Depuis, je limite grandement la casse, je lis mes étiquettes (même pour le shampoing) et je fais énormément attention à ce que je mets sur ma peau.
    Grâce à vous je n’utilise plus que les produits de soins Jovees :)
    Et pour le maquillage c’est en grande partie Lily Lolo.

    Ah oui petite chose que j’aimerais dire à toutes celles qui utilisent le fard à paupière Lily Lolo :

    pour qu’il tienne plus longtemps, n’utilisez PAS une foutue BASE FIXANTE sous votre fard à paupière !!

    Voici la composition d’une base à paupières très connue et adulée par les femmes, dont je tairais le nom :

    Isododecane, Cyclopentasiloxane, Disteardimonium Hectorite, Trimethylsiloxysilicate, Polyethylene, Trihydroxystearin, Triethylhexanoin, Isopropyl Lanolate, Sorbitan Sesquioleate, VP/Eicosene Copolymer, Dimethicone, PEG-40 Stearate, Propylene Carbonate, Phenoxyethanol, Synthetic Beeswax, Propylparaben, Methylparaben, Butylparaben, Ethylparaben, Isobutylparaben

    Du paraben (et du mauvais), de phénoxyethanol, du silicone et j’en passe…

    Mesdemoiselles (et mesdames) : dites moi ou est l’intérêt de passer au minéral si votre base de maquillage est TOXIQUE??

    Au lieu de ça, mélangez 1 dose de glycérine pure (achetée en pharmacie, 3€ environ), pour 3 doses d’eau, trempez votre pinceau la dedans et votre fard à paupière tiendra aussi bien qu’avec une base !

    Voilà, merci de m’avoir lue, et essayons de faire changer les mentalités !

    Helene

  5. melanie

    Merci Hélène pour votre commentaire/témoignage. C’est vrai on l’a tous fait d’acheter des maquillages « cheap », mais je dois dire que ce n’est as qu’une question de prix, de nombreux maquillages de grandes marques aussi ont une composition absolument « dégoutante ». Il faut vraiment faire un tri, tout éplucher pour savoir ce que chaque marque a dans les tripes, c’ets un travail long et pénible et que tout le monde n’est pas prêt à faire. Mais quand même tout ça va dans le bon sens, de plus en plus de marques deviennent cleans ou de nouvelles petites marques sortent en épousant directement tous les meilleurs principes.
    Cette formule que vous donnez me fait palir, c’est un concentré de cochonneries, un bien bel mauvais exemple, et tiens je ne savais même pas que que la cire d’abeille synthétique existait ! Pourquoi appeler cela cire d’abeille synthetique, qui cela va t’il rassurer? je pars direct me laver les yeux, ça pique rien de lire cet INCI !
    Et aussi : pour moi pas besoin de mettre de base sous les FAP Lily Lolo.. je ne vois pas trop l’intérêt car ils tiennent bien mais je ne suis pas non plus une grande experte en maquillage.
    Merci pour toutes ces infos en tout cas Hélène, c’est très interessant à savoir et je les garde en tête bien précieusement !

  6. Alice

    Bonjour,

    Merci pour cet article très intéressant.
    Le phénomène que décrit Milonga est prouvé scientifiquement, et en particulier sur l’huile essentielle d’Eucalyptus, particulièrement riche en Cinéol, composé aromatique très puissant.

    Une goutte appliquée sur la plante des pieds donne 2 minutes plus tard une haleine qui sent l’Eucalyptus.
    C’est dire la diffusion fantastique de cet ingrédient par voie cutanée, puis sanguine.

    Si l’exemple de l’huile essentielle est particulièrement notable, ce composé est loin d’être le seul à agir de la sorte.
    Le souci se pose quand le composé en question peut avoir une action sur le système endocrinien (perturbateur) ou encore sur le fonctionnement général de l’organisme. On connait l’effet tératogène (sur le foetus) ou encore abortif (sur le déclenchement de l’accouchement) de certaines huiles essentielles.
    Mais pour ces effets directement visibles, combien d’autres passé sous silence sur notre santé, à plus ou moins long terme ?

    Cela fait réfléchir en effet…

    Les marques naturelles émergentes ont sans doute un rôle à jouer, mais ce rôle ne peut sa cantonner à énumérer des mentions « sans parabens », « sans PEG », « sans silicone ».
    Il faut une vraie démarche de décryptage des ingrédients. Plutôt que de justifier qu’on utilise pas de parabens, il faudrait plutôt expliquer ce qu’on utilise pour la conservation et pourquoi c’est mieux.
    Voilà une démarche responsable, qui malheureusement n’est pas répandue de la part des marques dites naturelles ou bio.

    Plutôt que de faire le procès de la cosmétique conventionnelle, le consommateur attend aussi de la part des marques naturelles plus de transparence (c’est loin d’être le cas aujourd’hui), et plus d’accompagnement vers une cosmétique saine et respectueuse de la santé et de l’environnement.

  7. Marie

    Bravo et merci pour cet article.
    Une question qui serait surement bonne de se poser serait : « puis-je manger mes cosmétiques? » …
    Je vous laisse répondre à la question! ;-)

  8. melanie

    @Alice : merci pour votre commentaire qui soulève un point très juste : vous avez raison il y a un gros travail de dialogue, d’explication comme vous dites de transparence à faire entre les marques et le consommateurs.

    Pour moi c’est très clair : lire sur un emballage « sans parabens » n’est pas une garantie en soit. Cela peut être juste un argument commercial (on voit d’ailleurs cette mention de plus en plus souvent en pharmacie et partout ailleurs). Cela ne garantie pas l’absence d’autres ingredients non désirables et cela ne garantie pas non plus la presence d’ingredients interessants. Il faut vraiment faire un décryptage de toute la marque : tous les ingrédients mis en oeuvre, le système de conservation utilisé, l’intérêt du produit. Je sais que c’est dur pour le consommateur et en plus ce n’est même pas un label du style bio qui pourra apporter une garantie que le produit soit meilleur. Je sais que je peux m’attirer les foudres de tout le monde à dire cela, mais regardez le nombre de marques bio qui sortent en grande surface, si on regarde de plus près les compositions n’ont rien d’extra et on y trouve encore des ingredients pas cleans, selon les référentiels plus ou moins permissifs.

    Pour moi c’est vraiment l’Inci qui fait foix, mais aussi l’origine de la marque, l’équipe qu’il y a derriere, l’histoire, le pourquoi de la marque. Malheureusement les petites marques émergentes de ce style n’ont que très peu voire pas de budget du tout pour communiquer, se faire connaitre, expliquer leur origine, par contre si on cherche un peu et que l’on s’interesse à elle, elles expliquent très clairement sur leur site web par exemple qui elles sont, comment elles travaillent et n’ont en général rien à cacher. Pour ça vraiment Internet est un outil magique qui ouvre beaucoup de portes.

    Je pense que c’est vraiment notre rôle à tous, de mettre en marche la machine pour consommer mieux et faire connaitre à notre entourage des solutions meilleures.

    Sinon une petite parenthèse : j’ai appris la semaine dernière lors d’une conférence sur le sujet de la réglementation des cosmétiques que tout ce qui est mention « sans parabens, sans trucmuch » allait être interdite d’ici peu de temps sur les packagings. Après tout je peux comprendre car cela peut tromper le consommateur qui peut être faussement rassuré, par contre la raison évoquée officiellement à cette interdiction qui va être mis en place m’a choquée : c’est pour ne pas défavoriser les marques qui sont AVEC.
    En résumé d’ici un peu moins d’un an vous ne devriez plus voir écrit « SANS paraben » sur les emballages pour ne pas faire de mauvaise concurrence aux marques qui en contiennent. Sympa non?

  9. melanie

    @Marie : Question amusante !!
    Je vous répondrais que cela fait quelques années que je me pose la question et que je me la pose à chaque nouvelle gamme que j’entre dans la boutique.

    Ma réponse (qui est ma pensée personnelle et n’engage que moi) est la suivante :
    pour certains c’est clairement oui vous pouvez (je pense surtout aux gommages aux sucres) mais même si vous vous régalez : vous allez prendre du poids :)
    pour d’autres : vous pouvez et vous ne tomberez pas malade et ne sera pas mauvais pour votre santé mais cela risque d’être un peu mauvais au goût et surtout un beau gâchis. D’autre part ce n’est pas fait pour.
    Je vous renverse la question ;) quelque chose que vous mangez : je pense par exemple à du riz : le mettriez vous sur votre peau et passeriez vous la journée avec ? Cela serait un peu étrange, et surtout quel intérêt?

    En conclusion votre question est une question que l’on peut se poser mais ingrédient par ingrédient, et non pas pour un produit fini ;)

  10. Mel

    Merci pour cet article très instructif et il faut le dire assez flippant.

    « … je ferai bientôt un article sur tout ce qu’il faut éviter dans les listes d’ingrédients… »
    Oui, ce serait bien de faire un tel article.

    Merci encore.

  11. William Réjault

    Hello. Peux-tu rajouter le bouton de partage sur Twitter, en haut des articles ?
    Merci ! W

  12. laurence aboneobio

    Merci pour cet article ! Je partage totalement ce que tu écris. Il faut savoir qu’il existe actuellement plus de 100 000 molécules chimiques sur le marché, dont seulement 5000 testées et dont 100 cancérigènes. 60 % de ce qu’on met sur la peau passe le derme. Arrêtons de nous doucher au pétrole !
    Pour les huiles essentielles, on voit effectivement très bien les effets, que ce soit de manière olfactive ou en application. C’est pourquoi il est très important de ne prendre que des huiles essentielles bio de grands crus https://www.aboneobio.com/huiles-de-soins-bio/huiles-essentielles-bio-c-47_28_32.html car elles ont des vertus thérapeutiques puissantes
    Pensez aussi aux produits d’entretien que l’on respire, à la lessive dont les résidus restent en contact avec la peau; Et ne pas croire que les produits dits écolos vendus en grandes surfaces soient sans substances chimiques, c’est faux ! lisez cet article et vous comprendrez pourquoi https://www.aboneobio.com/blog/post/2011/10/24/Les-produits-menagers-ecologiques-avec-l-Ecolabel-insuffisant

  13. Florence

    Génial ce billet, merci.

    J’avoue avoir vécu une aventure un peu similaire.
    J’avais dû me tartiner le corps avec de la Bétadine (obligatoire avant une opération chirurgicale) et * Désolée, ce n’est pas glamour * mais je me suis payé trois jours de rototos à la Bétadine ensuite. Une belle prise de conscience à la clé …

  14. FAT

    Bonjour
    je suis allee voire ma dermato qui m’a prescrit diprosone pour des plaques
    entre les jambes
    j’ai fait une allergie à cette pommade
    ma question est :
    est ce que la pommade peut passer dans le sang car je me suis retrouvée avec 18 de tension alors que j’ai d’habitude 11 voir 12 de tension
    merci pour la réponse

  15. melanie

    Bonjour,
    Je ne suis pas médecin et je ne pourrais pas me permettre d’affirmer quoi que ce soit concernant un médicament. Cependant je pense que l’on peut aisément imaginer qu’un médicament sous forme de pommade a autant de chance qu’un cosmétique de voir certains de ses composants passer dans le sang…
    Avez-vous regarder sur la notice de votre médicament si l’augmentation de la tension artérielle faisait partie des effets secondaires? C’est tout à fait possible. Si ce n’est pas le cas vous pouvez le notifier à votre médecin ou aux centres anti-poisons afin de faire évoluer la notice du médicament.
    En espérant avoir répondu à votre question.
    Bonne soirée

  16. gaston

    Bonjour en ce qui concerne les crèmes solaire spour le visage
    je n’arrive pas à trouver quel ingrédient donne cet horrible goût amer dans la bouche quand on l’applique sur son visage
    je voudrais pouvoir trouver une crème solaire qui ne produit pas cet effet indésirable quelqu’un a-t-il une piste ?
    merci

  17. AUDE56

    Bonjour,
    j’ai trouvé votre blog en tapant, « sur la peau sur la langue »… car je sais déjà ce que cela signifie mais je voulais voir ce qui se dit sur le net.
    Je trouve votre article très bien, c’est une excellente synthèse !

    Voici mon expérience :
    depuis quelques années, j’ai des boutons sur les 2 joues, j’ai entre 45 et 48 ans, des marques rouges, des sécheresse, des point/bouton, bref fond de teint au boulot et naturel catastrophique. Pourtant, je ne mets que des crèmes bio, pas très cheres, assez cheres… nuxe,leclerc… et puis je cherche toujours le meilleur savon…sans succès

    et mes boutons sont toujours là, jusqu’à 30 en même temps !

    Un jour je discute avec une femme, je lui donne 20 ans de moins, elle le sais et rigole un peu. Elle me livre son secret : du BEURRE DE KARIT2 <<>>

    Je m’y mets, j’en trouve de l’éthique et de l’économique, bio pure non raffiné

    l’odeur : une sorte de chocolat, bizarre au début, impossible de s’en passer ensuite

    Résultat plus d’un an après : plus aucun bouton depuis 1 an, plus de marque rouge, une peau pulpeuse et visiblement en pleine santé (dire que j’envisageait le laser pour les marques rouges, des veine éclatées), moins de rides et ridules et ça c’était pas gagné !
    Accompagné de massage pour la pénétration et la vitalisation.

    Le bonheur total pour ma peau que je badigeonne de haut en bas tous les matins. Et je vous dis pas sur les pieds et les cheveux !

    Je peux manger ce beurre de karité ! donc oui je peux le donner à ma peau.

    J’ai fini par associé cela à un bio liniment fait maison, que je rince… pour le nettoyage,

    Voilà mon expérience,
    ça ne coute plus rien quasiment ! mes deux filles s’y sont mises !

    ma liste corps et maison :
    argile verte
    bio liniment maison
    beurre de karité
    spay eau florale (acidité peau)

    hampoing bio (bonne qualité)
    bicarbonate
    vinaigre
    HE diverses

    ………et basta !

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